Le Festival de la Chaise-Dieu sera de retour du 19 au 29 août

1 juin 2021

Après une année 2020 durant laquelle différents ensembles musicaux y ont trouvé un refuge propice au travail et à la création, La Chaise-Dieu retrouve son festival l’été prochain pour une 55e édition dédiée au partage et à la convivialité, dans ce havre de paix et de sérénité qu’est l’abbatiale Saint-Robert mais aussi dans d’autres lieux patrimoniaux remarquables de la Haute-Loire et du Puy-de-Dôme.

En prélude à cette 55e édition, une journée spécialement dédiée à Georges Cziffra célèbrera le 19 août les 100 ans de cette figure tutélaire du Festival, avec un spectacle musical de Pascal Amoyel et un récital de Cyprien Katsaris.

La virtuosité pianistique sera ensuite mise à l’honneur tout au long du festival, avec les débuts du jeune Adi Neuhaus le 22 août, l’intégrale des Années de Pèlerinage de Liszt par Roger Muraro le 23 août, et le retour à La Chaise-Dieu le 28 août de Katia et Marielle Labèque dans un programme associant Schubert et Debussy au minimalisme américain de Philip Glass.

Rendant hommage à deux maîtres français, le festival commémorera les 500 ans de la mort de Josquin Desprez en compagnie de l’ensemble Clément Janequin (24 août) et le centenaire de la mort de Saint-Saëns : ainsi le violoncelliste Victor Julien-Laferrière interprètera le 21 août sa 2e sonate accompagné au piano par Jonas Vitaud, tandis que l’Orchestre de la Garde Républicaine (dir. François Boulanger), fera entendre le 24 août sa célèbre Danse Macabre en écho à la fresque de l’abbatiale, et son Concerto pour violoncelle n°1 sous l’archet du jeune et brillant Bruno Philippe. Avec la rare Messe op. 4, le Chœur du Concert spirituel (dir. Hervé Niquet) proposera le 29 août un éclairage sur sa musique sacrée.

Un autre anniversaire à l’honneur sera celui d’Igor Stravinsky, 50 ans après la mort du compositeur russe naturalisé français puis américain. Le 25 août, une collaboration inédite entre l’Ensemble Orchestral Contemporain et l’Orchestre national d’Auvergne sera l’occasion d’entendre son Dumberton Oaks Concerto ainsi que la suite tirée du ballet Pulcinella, deux œuvres néoclassiques couplées au Concerto en sol de Ravel interprété par François Dumont. Ce même jour, les solistes de l’Orchestre de la Garde Républicaine conteront en musique son Histoire du soldat, avant la projection d’un documentaire musical sur la genèse de cette œuvre réalisée par Michel Van Zele.

En prélude à cette 55e édition, une journée spécialement dédiée à Georges Cziffra célèbrera le 19 août les 100 ans de cette figure tutélaire du Festival, avec un spectacle musical de Pascal Amoyel et un récital de Cyprien Katsaris.

La virtuosité pianistique sera ensuite mise à l’honneur tout au long du festival, avec les débuts du jeune Adi Neuhaus le 22 août, l’intégrale des Années de Pèlerinage de Liszt par Roger Muraro le 23 août, et le retour à La Chaise-Dieu le 28 août de Katia et Marielle Labèque dans un programme associant Schubert et Debussy au minimalisme américain de Philip Glass.

Rendant hommage à deux maîtres français, le festival commémorera les 500 ans de la mort de Josquin Desprez en compagnie de l’ensemble Clément Janequin (24 août) et le centenaire de la mort de Saint-Saëns : ainsi le violoncelliste Victor Julien-Laferrière interprètera le 21 août sa 2e sonate accompagné au piano par Jonas Vitaud, tandis que l’Orchestre de la Garde Républicaine (dir. François Boulanger), fera entendre le 24 août sa célèbre Danse Macabre en écho à la fresque de l’abbatiale, et son Concerto pour violoncelle n°1 sous l’archet du jeune et brillant Bruno Philippe. Avec la rare Messe op. 4, le Chœur du Concert spirituel (dir. Hervé Niquet) proposera le 29 août un éclairage sur sa musique sacrée.

Un autre anniversaire à l’honneur sera celui d’Igor Stravinsky, 50 ans après la mort du compositeur russe naturalisé français puis américain. Le 25 août, une collaboration inédite entre l’Ensemble Orchestral Contemporain et l’Orchestre national d’Auvergne sera l’occasion d’entendre son Dumberton Oaks Concerto ainsi que la suite tirée du ballet Pulcinella, deux œuvres néoclassiques couplées au Concerto en sol de Ravel interprété par François Dumont. Ce même jour, les solistes de l’Orchestre de la Garde Républicaine conteront en musique son Histoire du soldat, avant la projection d’un documentaire musical sur la genèse de cette œuvre réalisée par Michel Van Zele.

La musique sacrée conservera une place de choix dans cette édition 2021, avec une relecture très attendue de la Messe en si de Bach par Nicole Corti (20 août), la redécouverte de l’oratorio San Filippo Neri d’Alessandro Scarlatti par Les Accents (dir. Thibault Noally) avec le ténor Anicio Zorzi Giustiniani dans le rôle-titre (21 août), mais aussi trois oratorios de Schütz, le « père de la musique allemand », réunis en un « triptyque » par Françoise Lasserre (26 août). La soirée du 27 août au Théâtre du Puy-en-Velay oscillera entre baroque sacré et baroque profane (« Passions vénitiennes » par Les Cris de Paris, dir. Geoffroy Jourdain), tandis le programme Vivaldi du 28 août laissera place à la mandoline et au violoncelle virtuoses de Julien Martineau et d’Ophélie Gaillard, avant une « nouvelle symphonie avec voix » agencée par Marc Minkowski à partir d’extraits des opéras de Rameau, en clôture le 29 août.

De beaux programmes a cappella résonneront sous les voûtes de l’abbatiale Saint-Robert, comme le florilège de musique anglaise de Britten à Jonathan Harvey proposé par Les Métaboles (dir. Léo Warynski) le 22 août, ou encore en la collégiale romane de Saint-Paulien, à travers le programme à voix d’hommes seuls qui y sera créé par Spirito (dir. Nicole Corti) le 23 août.

Symbole de l’ouverture artistique du festival, deux soirées instaureront le dialogue avec d’autres arts, l’une alliant danse et musique à Ambert le 20 août avec le collectif ‘Incidence Chorégraphique’, formé de danseurs du ballet de l’Opéra national de Paris, l’autre faisant se répondre à Brioude le 26 août la musique d’Édith Canat de Chizy et de Philippe Manoury et les tableaux du peintre Nicolas de Staël exposés au Doyenné.

Tout au long de cette 55e édition, de nombreux évènements en accès libre seront également proposés : sérénades et concerts en plein air, auditions d’orgue, conférences et projections, scène « off », auxquels s’ajoutent une série d’initiatives pédagogiques et sociales qui contribueront à retrouver l’esprit de fête, de découverte mais aussi de partage au cœur du festival.

Ouverture de la billetterie : 10 juin 2021

Tarifs : 8 à 90 €

Informations et réservations : www.chaise-dieu.com